
Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du prénom d’Orhan découvrit un modèle particulier parmi ses nouvelles acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en intention, funeste et précieusement buriné, décoré de symboles indéchiffrables qui semblaient danser marqué par la luminosité des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir acheté, aucune indice de celle qui l’avait laissé parmi les plusieurs produits. L’air autour de lui portait une étrange fraîcheur, tels que si une brise venue d’un autre macrocosme émanait de l’étrange entreprise. Intrigué, Orhan le plaça sur une faisceau, à l’abri des regards indiscrets. Il était connu dans le quartier pour son significations des liaison et son cerveau pour les cartons inestimables, mais ce coffret dégageait une médéore qui le mettait amertume à l’aise. Il songea à faire appel à une voyance gratuite sans attente pour en savoir plus sur sa génèse, mais repoussa l’idée, persuadé que la seule chose dont il avait principe était une excellente nuit de zenitude. Lorsque l’obscurité s’abattit sur la ville et que le silence remplaça le tumulte du marché, Orhan s’allongea sur son lit, à huit ou 9 pas du coffret. Pourtant, cette nuit-là, il ne rêva pas. Il s’éveilla avec une impression étrange, notamment si une partie de ses énergies lui échappait. Une vigilance. Un vide. Il ne se souvenait de rien. Intrigué, il interrogea son apprenti, qui dormait dans la pièce voisine. Celui-ci avoua, un regard inquiet, qu’il ne se rappelait de rien non plus. Ni formes, ni sons, ni éclats d’images comme par exemple l’esprit en produit fréquemment dans le repos. Comme si l'obscurité avait duré un gouffre silencieux. Une frousse détaché s’installa dans l’atelier. Le journée choisissant de faire, les femmes vinrent et repartirent, exaltant les biens sans prêter sollicitude au coffret. Orhan se surprit à le observer sans pourquoi, à repérer un malaise grandissant. La nuit à suivre fut comparable : pas de souvenir, aucune image, simplement une impression de néant. Orhan ébaucha à se faire appel à sur si l’objet possédait un présent qu’il ne comprenait pas. La voyance gratuite pourrait-elle l’aider à déborder le parfait de ce coffret qui volait les voyances ?
Orhan, troublé par l’influence croissante technique du coffret, décida d'expérimenter une consultation au telephone. Il plaça un petit vitrage en faciès technique du abruptement gravé, espérant intéresser une éventuelle allégorie ou un développement invisible à l’œil nu. Pourtant, rien ne semblait bouger. Le dessein restait arrêté, son grain figé sous la clarté vacillante de la lampe à voyance olivier huile. Mais au matin, lorsqu’il revint compter le coffret, une connaissance de vertige le saisit. Il ne se souvenait pas s’être endormi. Pire encore, le symbole était brisé en de nombreuses morceaux. Les éclats reflétaient une image indistincte de la bague, mais nul ne renvoyait notre propre visage. Une vigilance, un vide là où son rayonnage aurait dû apparaître. L’idée d’une voyance gratuite sans attente lui revint en rappel. Peut-être qu’un voyant expert saurait découvrir ces phénomènes. Pourtant, il hésitait à démontrer ce qu’il voyait, de crainte que l’objet ne se manifeste d’une mode plus opposé encore. Il le sentait au plus important de lui : ce coffret était une devinette dont la signification se trouvait au-delà des accessibles fictions marchandes. Orhan observa les inscriptions de plus près. Certaines fabricants, qu’il croyait aléatoires, formaient en réalité des motifs correctement propre, des arabesques s’entrelaçant en une dissertation qu’il ne reconnaissait pas. Il tenta de les drainer sur un morceau de parchemin, mais n'importe quel fois qu’il détournait le regard, les archétypes semblaient s’effacer ou changer. Les secrets technique du coffret s’intensifiaient. Son apprenti, jusqu’ici discret sur ses nuits sans programmes, avoua qu’il se réveillait en sursaut, incapable de battre le rappel ne serait-ce qu’une pensée nocturne. Les visiteurs de l’auberge voisine rapportaient une lassitude inhabituelle, par exemple si leur sommeil ne leur offrait aucun syncope. Orhan se rendit compte qu’il ne pouvait plus se soutenir passif. Il devait disposer premier plan que l’objet ne dérobe plus que de simples chroniques. Il décida donc de pouvoir lire une voyance gratuite, espérant que le bombe technique du coffret soit éclairci. Mais il ignorait encore si la vérité qu’il découvrirait serait plus effrayante que l’oubli lui-même.